Archives de : Laurent Huet

  1. Suppressions de postes catastrophique dans l’éducation.

    eelv Coutances

    De nouveau la liste des suppressions de postes dans l’enseignement primaire et secondaire dans la Manche pour la rentrée prochaine est catastrophique. Cela se traduira encore par de nombreuses fermetures de classes, la suppression de postes Rased, de remplaçants et les conditions d’enseignement dans les lycées et les collèges se dégraderont encore d’avantage.

    Ces décisions ne peuvent être justifiées par le contexte économique ou l’évolution démographique, elles ne sont que le reflet de la volonté politique du gouvernement de ne pas remplacer un fonctionnaire sur deux partant à la retraite.

    Il est plus que temps de rétablir la confiance entre tous les acteurs de l’éducation. Pour EELV, il faut une véritable mobilisation de l’ensemble de la société pour promouvoir, tout au long de la vie, la coopération à la place de la compétition, la confiance et la sécurité plutôt que la sélection et l’exclusion. Nous défendons le retour de l’éducation au rang des priorités nationales, mais cela nécessite d’y investir des moyens au contraire de la casse réalisée actuellement.

    Parce que la  politique actuelle est inacceptable et parce qu’elle ne peut durer plus longtemps, des militants d’Europe Ecologie – Les Verts ainsi que des élus seront présents à Saint Lô ce vendredi lors du rassemblement prévu pour apporter leur soutien aux personnels de l’Education Nationale, aux parents et aux élus.

  2. Une des plus grande porcherie sur la plus grande réserve d’eau potable de la Manche.

    image robinet EELV Coutances

    Un projet d’extension d’un élevage porcin sur la commune de Raids est en cours de régularisation qui fera de cette exploitation l’une des plus importante de la Manche. L’enquête publique vient de se terminer et les communes concernées par l’élevage doivent se prononcer et donner un avis. L’exploitant avait bénéficié d’une autorisation provisoire délivrée par le préfet de la Manche qui a été annulée le 20 janvier dernier par le tribunal administratif de Caen. Bien que rendu possible par la réglementation, cet élevage hors sol concentrerait sur une petite surface un nombre très important de porcs, soit environ 12000 par an, dont la totalité des effluents sera étendue sur plus de 700 ha.

     

    Mais ici la surface impactée par l’épandage correspond à une partie du bassin de Sainteny qui contient la plus grande réserve d’eau potable de la Manche (l’aquifère exploitée alimente en effet environ 1/3 du département dont la ville de Coutances).

    Plusieurs captages prélèvent  l’eau dans ce bassin aquifère, et deux qui sont déjà particulièrement touchés par les pollutions aux nitrates et pesticides ont été en conséquent visés par le Grenelle de l’environnement en vue de leur protection, parmi 507 autres captages sur la France entière.

     

    L’activité de cette porcherie ne sera donc pas sans impact et les nitrates épandus ne seront pas tous assimilés, une partie finissant par se concentrer dans la nappe souterraine par lessivage des sols. Bientôt l’eau extraite en contiendra une quantité trop importante et demandera pour être consommée un traitement, générant un coût substantiel qui sera bien sûr répercuté sur la facture d’eau des ménages.

     

    D’autre part, cette concentration grandissante des différents élevages ne cesse de ravager l’économie et l’emploi de nos campagnes en réduisant toujours plus la main d’oeuvre et l’économie agricole locale.

     

    Pour Marine Lemasson, Conseillère Régionale, « nous demandons une véritable prise de conscience de chacun, afin que le monde agricole ne se retrouve pas à l’avenir en opposition avec la société. Nous devons trouver une cohérence permettant emploi, revenu et souveraineté alimentaire pour tous, tout en préservant la ressource en eau primordialement. Il faut revoir de manière concertée notre système agricole avec tous les acteurs, afin de rendre la réglementation encore plus garante de la ressource de tous, environnementale comme économique et sociale ».

     

    Pour Catherine Marrey, « cela implique de mener une réflexion globale, avec une analyse des impacts de notre société de consommation qui produit par exemple, de la viande de porc à bas coût et bas revenu unitaire pour les producteurs, mais à fort impact environnemental ».

     

    Après le grenelle de l’environnement et un affichage politique sur une meilleure prise en compte environnementale, les faits sont là ! Les pratiques perdurent !

  3. Rapport de la Cour des comptes: le nucléaire est la seule technologie dont le coût augmente dans le temps

    eeelv coutances

    La Cour des comptes rend aujourd’hui son rapport sur le coût réel de la filière électronucléaire française. Cet exercice comptable difficile est salué par les écologistes qui attendaient depuis longtemps que les estimations du passé soit réactualisées, d’autant plus que le renforcement inéluctable de la sûreté nucléaire va encore renchérir les coûts de l’énergie nucléaire.

     

    Pour Michèle RIVASI, porte-parole d’Eva Joly spécialiste du nucléaire, ce rapport reste néanmoins incomplet et doit en appeler d’autres tout aussi pertinents sur les coûts à venir:

     

    « Aujourd’hui, la Cour des comptes brise publiquement de nombreux mythes dénoncés depuis longtemps par les écologistes: avec un coût évalué à 30€/MWh il y a quelques années, puis une réévaluation après publication du rapport Champsaur à 42€/MWh (prix de vente actuel) … le coût du nucléaire actuel serait de 50€/MWh. Mais étant donné que la Cour des comptes n’a pas inclus le coût de la recherche publique dans ses calculs (38 milliards d’euros), le coût initial doublerait pour s’élever en fait à 58€/MWh. Et encore, cette actualisation des coûts ne comprend ni le coût de l’assurance des centrales, ni le coût de Superphénix, ni même celui des anciens réacteurs graphite-gaz.  Par ailleurs le coût du MWh sortant de l’EPR est dorénavant estimé entre 75 et 90 euros, ce qui met l’éolien au même niveau de compétitivité économique. Disons-le clairement: c’est un désaveu pour les promoteurs de l’atome. »

     

    « Par ailleurs, ce rapport souligne que le coût du démantèlement et du stockage des déchets n’est pas chiffrable aujourd’hui et donc que les estimations avancées par les tenants de l’énergie nucléaire n’ont pas de raison d’être…sauf d’être amenées à augmenter encore et toujours, tels que c’est le cas pour l’enfouissement en couches géologiques profondes que refusent les écologistes, et dont les coûts estimés sont passés de 15 à 35 milliards d’euros. Aussi, concernant le coût du démantèlement provisionné par EDF, il ne sera pas de 15% du coût d’investissement initial (construction) mais d’au moins 37%. C’est tout bonnement scandaleux, c’est à croire qu’on nous a amené volontairement dans une impasse économique pour justifier la prolongation de la durée de vie des centrales au-delà de 40 ans. »

     

    « Enfin, la Cour des comptes insiste surtout sur l’importance des surcoûts liés à la maintenance du parc nucléaire, avec au moins 55 milliards d’euros d’investissements nécessaires entre 2011 et 2025. Le plus inquiétant finalement, c’est que malgré une augmentation des coûts pour améliorer la sûreté, le risque zéro ne disparaît pas pour autant. Ces investissements semblent irréalistes pour les écologistes: mieux vaudrait privilégier la fermeture des centrales à risque plutôt qu’investir à fonds perdus dans l’illusoire sûreté de centrales qui vieillissent mal. »

     

    Et Michèle RIVASI de conclure: « Le nucléaire est bien la seule technologie que je connaisse dont le coût augmente dans le temps. Normalement, les progrès technologiques et la production en série devraient tendre vers une diminution des coûts comme c’est le cas dans les énergies renouvelables: c’est une ineptie de plus à mettre sur le compte de cette industrie aussi douteuse que coûteuse. La sortie du nucléaire est un impératif économique qu’Eva Joly continuera à porter lors de notre campagne: nous ne voulons pas continuer à hypothéquer l’avenir de la France, et encore moins celui des générations futures. »

  4. Mouvement social : les enseignants sont dans la rue. Voire même … à la rue !

    Paris, le 30 janvier 2012

    Conditions de travail de plus en plus difficiles, postes supprimés, projet
    de réforme d’évaluation des enseignants dépourvue de sens, le gouvernement
    savonne la planche de l’Education.

    Luc Chatel annonce dans son communiqué de presse un chiffre prévisionnel:
    un taux de grévistes de 12,83% dans l’enseignement primaire. Sinistre
    comptabilité, à nouveau, du ministre de l’Education qui prévoit le service
    minimum qui doit être, en vertu de la loi, assumé par les collectivités
    locales. Un service minimum. Voilà ce à quoi ces conditions de travail, et
    ces postes supprimés amènent l’Education Nationale, l’institution qui
    prépare l’avenir. C’est ainsi qu’on envisage le futur et les générations à
    venir, dans ce gouvernement : une quantité négligeable. Seuls les
    bénéfices à hyper court terme comptent.

    Sous prétexte de recherche de l’excellence, c’est la concurrence qui prévaut.
    Sous prétexte d’économie, c’est l’encadrement humain et nos enfants qui
    périclitent.

    Monsieur le Ministre Chatel déclarait récemment au Sénat “Des économies de
    bout de chandelle ? Non, une suppression de poste représente une économie
    d’un million sur la carrière, plus 800 000 euros de retraite. Multipliez
    par 150 000.”

    Dénonçons cette casse de l’éducation, orchestrée par le gouvernement.
    Sinistre comptabilité, encore.

    Marie-Christine Blandin, Sénatrice Europe Écologie Les Verts du Nord, et
    Présidente de la Commission de la Culture de l’Éducation et de la
    Communication, renouvelle son soutien aux enseignants, aux personnels
    encadrants, aux parents d’élèves et aux élèves, et maintient fermement ce
    qu’elle avait répondu au ministre le 1er décembre dans l’hémicycle du
    Sénat : “Votre triste comptabilité des économies réalisées grâce aux
    suppressions de postes a profondément choqué la majorité. Nous ne voulons
    pas, nous, que chaque matin, l’enseignant se regarde dans le miroir en se
    disant « Je coûte trop cher, j’aggrave la dette ». Nous voulons qu’il
    puisse se dire :  « Je construis un peu plus d’humanité, je crée du lien,
    je transmets du savoir, je suis un fonctionnaire consciencieux ». Ce
    métier mérite une reconnaissance que doivent traduire un juste salaire et
    une juste retraite.»

    Marie-Christine Blandin déclare : “Derrière les chiffres et les prétendues
    économies, il y a les dégâts de demain, les femmes et les hommes
    enseignants brisés dans leur engagement au services des générations
    futures, des enfants et des jeunes bousculés dans leur parcours.”

    Marie-Christine BLANDIN
    Sénatrice du Nord – Europe Ecologie Les Verts
    Présidente de la Commission Culture
    www.mariechristineblandin.eelv.fr

     

  5. Investiture des candidats écologistes aux législatives en Basse Normandie

    Le Conseil Fédéral d’Europe Ecologie Les Verts a investi samedi les candidats écologistes
    aux législatives dans les circonscriptions de Basse‐Normandie, après avoir investi, en
    décembre, les candidats sur les circonscriptions réservées aux écologistes dans le cadre
    de l’accord avec le Parti Socialiste.

    Pour la Manche, Ces candidats sont:

    ‐ 1ère circonscription de la Manche : Jérôme Virlouvet, Conseiller Régional, coordinateur d’un groupement d’agriculteurs, 35 ans.
    ‐ 2ème circonscription de la Manche : Jean Leguélinel, Maire des Chambres, kinésithérapeute, 46 ans.

    3ème circonscription de la Manche : Marine Lemasson, Conseillère régionale, ingénieure‐agronome, 36 ans.
    ‐ 4ème circonscription de la Manche : Catherine Marrey, productrice/
    documentariste, 65 ans.

    Pour le reste de la Basse‐Normandie, ces candidats sont :
    ‐ 1ère circonscription du Calvados : Rudy L’Orphelin, Maire adjoint de Caen et Président du groupe des élus EELV, en charge de l’environnement, du développement durable et des déplacements, 29 ans.
    ‐ 2ème circonscription du Calvados : Caroline Amiel, Maitre de conférence en biologie à l’Université de Caen, 49 ans.
    ‐ 3ème circonscription du Calvados : Sabine Michaux, Conseillère municipale de Lisieux, 44 ans.
    ‐ 4ème circonscription du Calvados : Pascal Chapelle, Agent SNCF, 55 ans.
    ‐ 6ème circonscription du Calvados : Laurent Decker, salarié dans l’industrie automobile, 46 ans.

  6. Mobilisation contre la ligne THT Cotentin-Maine.

    image tht EELV Coutances

    Pour exprimer l’opposition à la ligne THT et exprimer leur soutien aux riverains, un rassemblement a eu lieu ce jeudi 26 Janvier à Hauteville la Guichard. Une quarantaine de personnes ont bloqué par leur présence, un chantier sur les pylône 122, 123 et 124 et cela une bonne partie de la journée. Cette action non violente de « désobéissance civil » a été assez relayée par la presse. Elle met en avant la mobilisation contre ce projet qui continue à avancer malgré les différents recours engagés.  Signalons enfin que d’autres actions se déroulent sans couverture médiatique: déboulage de pylône, détérioration de matériel de chantier.

     

  7. Pétition REFUSONS LA SUPPRESSION DE 2500 ARRETS DE CARS SCOLAIRES DANS LA MANCHE !

    La FCPE (fédération des conseils de parents d’élèves) a mis en ligne une pétition contre la réorganistion des transports scolaires dans la Manche.

    Pour signer la pétition

    Voici le texte: Monsieur le Président du Conseil Général de la Manche

    Il est loin le temps où Monsieur le Président du Conseil Général plaidait auprès du ministre de l’Education Nationale la prise en compte de nos spécificités territoriales lors de la carte scolaire 2011 et rejetait la rationalisation des moyens !

    Aujourd’hui, ce même Conseil Général rationalise les circuits de ramassages scolaires sous couvert de sécurisation des arrêts et de réduction de temps de transport sans tenir compte des spécificités rurales de la Manche.

    La FCPE s’étonne de lire dans la presse que 2 500 arrêts de cars vont être supprimés, sans que les parents, directement concernés, soient informés.

    En supprimant ces 2 500 arrêts, les circuits scolaires seront peut-être plus courts et permettra d’atteindre la limite maximum de 45 minutes en car, mais pour autant cela ne raccourcira pas le temps entre domicile et établissement scolaire !
    Et combien de jeunes en Primaire, faute de ramassage de proximité, devront aller en gardes périscolaires (quand elles existent), allongeant ainsi leur temps de journée scolaire, sans parler du coût engendré pour les familles !

    Le second argument est la sécurisation des arrêts ; cela sera sans doute fait, mais qu’en est-il de la sécurité des élèves pour rejoindre ces points de ramassage ? Marcher pendant plusieurs centaines de mètres, voire kilomètres, sur des bas-côtés non sécurisés, non éclairés de routes départementales ou communales en rase campagne ? Belle avancée !

    Le transport scolaire est un service public, est l’élément premier et indispensable de l’aménagement d’un territoire ; veut-on fermer les écoles des RPI, du monde rural ? Car si les écoles rurales et leur accessibilité disparaissent, la désertification de notre territoire n’est pas loin !

    La FCPE demande au Président du Conseil Général et aux conseillers généraux de renoncer à ce projet et invite toutes les personnes concernées à signer la pétition pour manifester leur désaccord.

    L’accès à l’éducation est un droit constitutionnel qu’il faut préserver !
    Mobilisons-nous !
    Les signataires

  8. La température augmentera de 4 °C d’ici 2080

    D’après un article du Ouest-France, du jeudi 19 Janvier

    Une étude menée par des scientifiques pour le compte du conseil général du Calvados fait part de ses observations sur le réchauffement climatique. D’ici 2080, la température va augmenter de 1 à 4 °C et le niveau de la mer montera de 1 m aux environs de 2100. Avec des conséquences prévisibles (tempêtes, mouvements de terrain, submersion marine, mutations agricoles, santé…),……

    Par respect pour le droit d’auteur des journalistes, et dans le strict respect de la loi, nous ne diffusons pas l’intégralité des articles.

    Lire l’article

    Certain site propose des simulations. Le site de la direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement de Basse-Normandie (DREAL = ex-DRIndustrieRE + ex-DREquipement + ex-DIRENvironnment), propose une  carte qui présente les niveaux de la marée centennale dans la Manche (centennale = qui a 1 chance sur 100 d’arriver tous les ans).

     voir la carte

  9. Manéo: pour un réel service publique de transport

    Image EELV manéo

    Europe Ecologie Les Verts dénonçait en début de mois le problème rencontré par de nombreux collégiens et leur famille suite à la révision du schéma de ramassage scolaire en compétence du Conseil Général.

    Effectivement, depuis la rentrée scolaire, c’est plus de la moitié des arrêts préexistants qui ont été balayés, certaines communes les plus sinistrées allant jusqu’à voir les 2/3 de leurs arrêts radiés de la carte. Ainsi, bon nombre d’enfants seront dans l’obligation de rejoindre leurs établissements scolaires par leurs propres moyens.

    Des élus et des parents d’élèves ont décidé de réagir face à cette situation inacceptable, et nos trois conseillers régionaux ont été contactés par plusieurs maires désespérés de la situation et en quête de solution. Ce domaine ne relevant pas de la compétence du Conseil Régional, nous appelons donc le Conseil Général à renouer le dialogue avec les bénéficiaires pour qu’une solution soit trouvée pour tout enfant résidant à plus de 2 km de son établissement. Loin de toute velléité purement économique, ce temps d’échange aurait positivement dû se trouver en amont de la décision de changement, afin qu’un réel service publique de transport scolaire accompagne les familles sur un poste dont le prix du carburant augmentant, ne cesse de pénaliser le pouvoir d’achat des plus précaires.

    Enfin après les propos tenus dans la presse par certains membres du Conseil Général, EELV appelle à plus de mesure et rappelle qu’en tant que mouvement politique nous avons toute légitimité à exprimer notre avis sur différents sujets.

     

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  10. Recensement des arrêts de bus Manéo supprimés.

    Image EELV manéo

    Vous trouverez ci-joint un formulaire pour recenser les arrêts impactés par la nouvelle politique du Conseil Général de la Manche afin de donner à tous une vue d’ensemble sur des différentes suppressions dans le département.
    Je vous invite à le remplir, ou à le faire remplir par vos contacts.

    Formulaire de recenssement

     

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